SYLVIE SERPRIX Le conseil d’administration de La Poste convoqué jeudi 12 juin sera « tout ce qu’il y a d’ordinaire »,assure l’un des participants. Le suivant,le 25 juin,aura une tout autre importance : ce sera le dernier pour Philippe Wahl,PDG du groupe depuis 2013. Le même jour,l’entreprise publique réunira son assemblée générale,qui devra valider le choix de son successeur,qui relève de l’Elysée. L’aboutissement d’un long processus et d’une campagne feutrée mais pas totalement exempte de manœuvres et de rebondissements.
Formellement,le comité des nominations de La Poste a rédigé ses recommandations après avoir entendu six candidats au poste de PDG. Un processus à l’issue duquel quatre noms restent en lice,explique-t-on de source proche du conseil d’administration. Les deux candidats en interne sont connus depuis plusieurs mois déjà : d’un côté,Nathalie Collin,directrice générale adjointe chargée de la branche grand public – qui inclut le réseau des bureaux de poste – et du numérique,de l’autre Stéphane Dedeyan,président du directoire de La Banque postale. Aucun des deux n’est un « historique » du groupe : la première y est entrée en 2014,le second en 2021.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.