Le tribunal correctionnel de Paris,en avril 2018. BENOIT TESSIER/REUTERS A l’heure où il est beaucoup question de terrorisme d’ultradroite avec la mise en examen,le 5 juin,de Christophe Belgembe pour « assassinat et tentative d’assassinat en relation avec une entreprise terroriste,en raison de la race,de l’ethnie,de la nation ou de la religion » à Puget-sur-Argens Var),le dossier qui doit être jugé,à partir du mardi 10 juin,par le tribunal judiciaire de Paris est le plus gros de ce type de menace terroriste.
Le plus important par le nombre de personnes jugées,pas forcément par les faits visés,dans la mesure où aucun passage à l’acte n’a eu lieu et où le Parquet national antiterroriste a demandé que les prévenus soient renvoyés devant la 16e chambre du tribunal correctionnel et non pas les assises. Mais il illustre bien l’obsession antimusulmane de l’ultradroite française.
Seize personnes,treize hommes et trois femmes,sont appelées à comparaître sous l’accusation de participation « à un groupement formé ou une entente établie en vue de la préparation d’actes de terrorisme,notamment des attaques indiscriminées à l’encontre de membres de la communauté musulmane ».
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.