Des véhicules incendiés durant la nuit de la Saint-Sylvestre,à Strasbourg,le 31 décembre 2024. CÉDRIC JOUBERT / MAXPPP Les incidents qui émaillent chaque année la nuit du Nouvel An à Strasbourg ont,cette année,commencé quelques jours après Noël,bien avant la nuit du 31 décembre 2024,donnant lieu à plusieurs interpellations,dans un contexte tendu : une sécurité en alerte à la suite de l’attentat commis le 20 décembre à Magdebourg,en Allemagne,alors que les marchés de Noël strasbourgeois et de la région attirent quelques millions de touristes.
A l’issue de ces incidents,les parents de mineurs impliqués ont reçu un courrier du préfet du Bas-Rhin,Jacques Witkowski. Si les parents français ont été invités à solliciter l’aide des services sociaux en cas de difficultés éducatives,les parents bénéficiant d’un titre de séjour d’au moins deux mineurs de 15 et 17 ans,interpellés le 26 décembre 2024 dans un quartier de Strasbourg,ont été,en plus,convoqués à la préfecture. Dans le courrier qui leur était adressé,le préfet,nommé en novembre 2024,souligne : « Au regard de la gravité des faits précités,je m’interroge sur le respect de vos obligations parentales. Aussi,j’envisage de procéder au réexamen de votre droit au séjour sur le territoire national au regard des dispositions de l’article L. 432-5 du code de l’entrée et du séjour des étrangers et du droit d’asile. »
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.