Mgr François Touvet,à Lourdes,dans les Hautes-Pyrénées,le 6 novembre 2021. VALENTINE CHAPUIS/AFP Enfin seul aux commandes. Nommé en novembre 2023 par Rome comme coadjuteur de l’évêque de Fréjus-Toulon,Dominique Rey,sorte de numéro un bis,Mgr François Touvet se retrouve,depuis la démission du premier,mardi 7 janvier,à la tête de cet emblématique diocèse méridional.
Le pape l’avait nommé afin de redresser la situation d’un territoire jugé en déshérence. Le Vatican avait même diligenté une enquête apostolique,laquelle avait abouti à la nomination du coadjuteur. Les autorités ecclésiastiques,qui avaient l’espoir de voir Mgr Rey démissionner rapidement après cette décision,avaient dû prendre leur mal en patience : l’évêque,auquel il était reproché une mauvaise gestion humaine et financière de son diocèse (creusement du déficit,manque de supervision des communautés implantées dans le territoire,ordinations de prêtres refusés ailleurs,multiplication des messes traditionalistes…) ne semblait pas vouloir partir.
Une situation compliquée,qui faisait craindre aux autorités que Mgr Touvet,mis dans une position de cohabitation peu confortable,ne jette l’éponge. Une semaine après la démission de son prédécesseur,il se trouve donc aujourd’hui à la tête du diocèse de Fréjus-Toulon,les mains totalement libres.
Il vous reste 65.54% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.