Claude Guéant,au palais de justice de Paris,le 15 janvier 2025. SARAH MEYSSONNIER / REUTERS Claude Guéant a passé un rude moment,jeudi 16 janvier,et le vieux monsieur,qui a déposé assis,au tribunal de Paris,n’aura sans doute pas trop le cœur à fêter,vendredi 17 janvier,son 80ᵉ anniversaire. L’ancien bras droit de Nicolas Sarkozy,au ministère de l’intérieur,puis à l’Elysée,a été longuement interrogé sur son étrange voyage en Libye,en 2005 – et son dîner avec Abdallah Senoussi,le beau-frère du dictateur libyen Mouammar Kadhafi et l’organisateur de l’attentat du vol DC-10 d’UTA,qui a tué 170 personnes,dont 54 Français,en 1989.
Les soupçons de financement libyen de la campagne présidentielle de Nicolas Sarkozy,en 2007,tournent autour d’un personnage aujourd’hui pestiféré,l’intermédiaire Ziad Takieddine,qui a fui au Liban après avoir été condamné,en 2020,à cinq ans de prison ferme dans l’affaire de Karachi,un dossier de ventes d’armes au Pakistan et à l’Arabie saoudite. Claude Guéant l’a bien connu. Le haut fonctionnaire,« le plus brillant de sa promotion »,a reconnu le Parquet national financier,était alors directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy,ministre de l’intérieur,lorsque Brice Hortefeux,ami et conseiller du ministre,lui a présenté Takieddine,en 2003.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.