Un magasin GiFi,à Gradignan (Gironde),le 15 novembre 2024. PHILIPPE LOPEZ / AFP Le discounter GiFi est-il enfin tiré d’affaire ? L’enseigne spécialisée dans les articles de bazar a annoncé,vendredi 17 janvier,dans un communiqué,être parvenue à un accord avec ses créanciers afin de pérenniser l’entreprise. La veille,dans l’après-midi,la direction de l’enseigne avait présenté l’état des lieux aux représentants du personnel lors d’une réunion extraordinaire du comité social et économique. « Une solution arrive enfin. On attend la suite »,a précisé,au Monde,au sortir de cette réunion,Laurent Mardaga,délégué CFDT,qui n’en dira pas davantage en raison d’« un devoir de confidentialité ».
Au terme de longues heures de négociations,les principaux établissements créanciers,dont le Crédit mutuel,le Crédit agricole ou encore BNP Paribas,ont accepté d’effacer 470 millions d’euros de dettes,selon La Lettre. Elles deviendront actionnaires de GiFi via une fiducie. Les banques se sont également engagées à injecter,selon nos informations,entre 150 millions et 200 millions d’euros pour renflouer immédiatement la trésorerie,mais à une seule condition : que Philippe Ginestet,le fondateur de l’enseigne,et son fils n’aient plus aucun rôle opérationnel dans l’entreprise. Philippe Ginestet en restera toujours actionnaire à travers sa holding,GPG.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.