Des membres de la police des frontières du Costa Rica lors d’une patrouille aquatique à Sierpe,au Costa Rica,le 20 avril 2024. Les forêts tropicales sont infiltrées par les cartels qui cherchent à trouver de nouveaux itinéraires de trafic pour échapper aux autorités. ALEJANDRO CEGARRA/NYT-REDUX-REA En ce début février,une vidéo circule sur les réseaux sociaux du Costa Rica,montrant une mort brutale. Une moto s’approche d’une voiture dans une rue de la capitale,San José,et son passager arrière tire à bout portant,tuant les deux occupants de l’automobile. Ce fait divers,lié au narcotrafic selon les autorités policières,n’a plus rien d’exceptionnel dans ce pays encore surnommé « la Suisse de l’Amérique centrale »,mais touché de plein fouet par le trafic de cocaïne.
Ces dernières années,le Costa Rica,un pays de transit de cette drogue,en est devenu un Etat importateur et exportateur vers l’Europe. « La drogue arrive par bateau ou par avion depuis la Colombie et les pays andins,elle est ensuite réexportée vers l’Europe,cette fois par paquebot depuis la côte Atlantique,dissimulée dans les caisses de la production agricole du pays,en particulier deux produits phares : les ananas et les bananes »,explique Evelyn Villarreal Fernandez,chercheuse au programme « Estado de la nacion » (« état de la nation »),un centre de recherche créé par les cinq universités publiques du pays.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.