L’aide à domicile Sylvie Rossignol assiste Angèle,à Chapdes-Beaufort (Puy-de-Dôme),le 16 mars 2022. THIERRY ZOCCOLAN / AFP Prêter sa carte bancaire,son porte-monnaie ou son chéquier à une aide à domicile pour qu’elle fasse les courses peut être angoissant pour une personne vulnérable. A l’inverse,devoir passer au crible les tickets de caisse au retour des magasins pour justifier de chaque dépense et s’exposer à un désaccord sur les montants est tout aussi inconfortable pour l’aide à domicile. Quant à l’entreprise prestataire qui emploie l’intervenant,la surveillance de ces transactions et l’éventualité de contentieux sont également chronophages.
C’est pour répondre à ces contraintes que Sébastien Vray a créé,en 2020,Ezio,une solution de paiement conçue pour les services à la personne. Il s’agit d’une carte de paiement,prêtée à l’auxiliaire de vie ou à l’aide à domicile,qui lui permet d’effectuer des achats en toute transparence. « On simplifie,on automatise et on sécurise,explique le jeune Vendéen. Le bénéficiaire est rassuré,le travail de l’intervenant est facilité,et l’entreprise gagne du temps ! Longtemps,elle a dû avancer l’argent en espèces à ses employés pour refacturer ensuite la dépense à ses clients,c’était du temps perdu dans un secteur où le coût humain est énorme et où chaque minute compte ! » L’entreprise équipe aujourd’hui,avec un système d’abonnements,plusieurs grosses enseignes du secteur,comme APEF,Générale des services ou O2.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.