Les Contamines-Montjoie (Hute-Savoie),le 10 février 2020. ALEX MARTIN / AFP Le 7 février 2020,la saison de ski bat son plein aux Contamines-Montjoie quand la station de Haute-Savoie bascule dans l’inconnu. « Il faisait déjà nuit lorsque la préfecture m’informe que cinq cas ont été repérés dans le chalet d’une famille anglaise »,se remémore le maire d’alors,Etienne Jacquet (divers droite). « Ils avaient reçu,fin janvier,quelqu’un arrivé de Singapour »,et testé positif à son retour à Londres. Onze habitants sont concernés. Cinq personnes sont positives,dont un enfant scolarisé sur place.
C’est dans cette petite vallée,coincée entre Megève et la frontière italienne,que le premier foyer de contamination du pays apparaît. En cause : ce virus inconnu venu d’Asie qui a déjà frappé,ici ou là,une poignée de personnes en France. Et,aux Contamines-Montjoie,peut-être le Covid-19 s’est-il déjà répandu parmi les 20 000 personnes qui résident sur place en haute saison (contre 1 200 à l’année)…
Etienne Jacquet a,alors,d’autres soucis. Outre la saison touristique,il est en pleine campagne pour les élections municipales – qu’il perdra,à l’issue d’un second tour décalé de trois mois,le 28 juin. Mais il saisit immédiatement les enjeux. Priorité : ne pas avoir « quelqu’un sur le carreau » ni devenir le centre d’une épidémie européenne. Et,accessoirement,« préserver la réputation des Contamines,dont le nom,vous l’imaginez,se prêterait à de nombreux jeux de mots… »,confie Etienne Jacquet.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.