Le président du Medef,Patrick Martin,quitte le ministère du travail après une réunion avec le premier ministre et les syndicats,à Paris,le 17 janvier 2025. BERTRAND GUAY/AFP A la demande du gouvernement,les organisations de salariés et d’employeurs ouvrent jeudi 27 février des discussions visant à remettre sur le métier la réforme des retraites. Un retour aux partenaires sociaux décidé par le premier ministre,François Bayrou,qui y a vu le moyen d’éviter la censure du Parti socialiste. Syndicats et patronat ont jusqu’au mois de juin pour amender un texte qui a profondément mécontenté les Français. L’exercice est inhabituel et son issue est incertaine. Car si François Bayrou a assuré qu’il n’y avait « aucun totem ni tabou »,le sujet de l’âge de départ à la retraite,porté à 64 ans par la réforme,reste conflictuel.
Dans un entretien au Monde,le président du Medef,voit dans la borne d’âge un levier indispensable pour revenir à un équilibre financier. Un objectif rappelé à la veille de l’ouverture des discussions par François Bayrou : dans une lettre de mission adressée aux partenaires sociaux,le premier ministre les exhorte à « rétablir l’équilibre financier de notre système de retraites à un horizon proche » qu’il « souhaite fixer à l’année 2030 ».
Il vous reste 91.56% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.