Le président chinois Xi Jinping,à l’ouverture de session de l’Assemblée nationale populaire,à Pékin,le 4 mars 2025. ADEK BERRY / AFP La réplique n’aura pas tardé. Mardi 4 mars,dans la foulée de l’entrée en vigueur de nouveaux droits de douane de 10 % imposés par Donald Trump sur tous ses produits,Pékin a ciblé en réponse les exportations agricoles américaines ainsi que des entreprises du secteur de la défense. Particulièrement exposée,la Chine,première puissance exportatrice de la planète,est entraînée par le nouveau président américain dans une escalade de représailles commerciales. Elle ne l’a ni initiée ni désirée,mais se retrouve contrainte de répondre pour montrer qu’il n’est pas question de céder aux méthodes de Washington,ni de courber l’échine devant la première puissance mondiale. Pékin s’est dit prêt mardi à « aller jusqu’au bout » dans la riposte.
Le gouvernement chinois a annoncé des droits de douane de 15 % supplémentaires sur le poulet,le blé,le maïs et le coton en provenance des Etats-Unis,et de 10 % sur le soja,le porc,le bœuf,les produits de la mer,les fruits et légumes et les produits laitiers. En visant l’agriculture,la Chine tente de faire mal aux régions qui ont largement voté pour Trump,comme elle l’avait déjà fait en 2018,alors que s’engageait la première guerre commerciale avec le Républicain.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.