Des panneaux photovoltaïques installés sur les toits de la Caisse des dépôts et consignations de Bordeaux,le 28 mai 2024. GUILLAUME BONNAUD / PHOTOPQR/SUD OUEST/MAXPPP Bordeaux pourrait-elle devenir la première ville solaire en France ? C’est en tout cas l’ambition de son maire,l’écologiste Pierre Hurmic. Depuis son élection,en 2020,un vaste plan de solarisation de la ville a été lancé,pour répondre,selon l’édile,aux « scénarios nationaux de RTE [Réseau de transport d’électricité] et de l’Ademe [Agence de la transition écologique] d’une hausse de la consommation électrique dans les années qui viennent,combinée à une réduction du bilan carbone nécessaire pour arriver à la neutralité carbone en 2050 ». En outre,l’édile y voit l’opportunité de relancer une industrie stratégique locale. « Nous avons la conviction que,plus on favorisera la pose ou l’utilisation des panneaux photovoltaïques,plus on rentabilisera une filière industrielle de proximité régionale et nationale »,explique-t-il.
D’ici à la fin de son mandat en 2026,60 000 mètres carrés de panneaux solaires seront installés sur les bâtiments publics municipaux,promet-il. L’objectif étant d’atteindre 41 % d’autonomie énergétique. En 2020,celle-ci ne dépassait pas 3 %.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.