Le premier ministre,François Bayrou,et le premier président de la Cour des comptes,Pierre Moscovici,à l’hôtel Matignon,à Paris,le 20 février 2025. STEPHANE DE SAKUTIN/AFP Parmi les étudiants étrangers,certains méritent d’être accueillis de manière prioritaire en fonction d’une « stratégie plus claire et mieux ciblée »,affirme la Cour des comptes dans un rapport publié lundi 10 mars consacré à l’attractivité,à l’international,de l’enseignement supérieur français. De 600 000 en 1975,le nombre d’étudiants en mobilité à travers la planète est passé à 3,5 millions en 2005 puis à 6,4 millions en 2021. La compétition pour attirer « les talents » est « de plus en plus intense entre les établissements d’enseignement supérieur »,relève le rapport qui y voit un « enjeu de politique publique interministérielle ».
Cette compétition a tourné au désavantage de la France au regard des données de l’Unesco : deuxième pays d’accueil en 1980 derrière les Etats-Unis,elle était quatrième en 2017 et n’est plus,en 2022,que septième derrière les Etats-Unis,le Royaume-Uni,l’Australie,le Canada,l’Allemagne et la Russie.
La France se distingue d’autres pays par « un manque d’objectifs qualitatifs explicites » et de « priorisation »,estiment les magistrats financiers à propos du plan « Bienvenue en France »,annoncé fin 2018,qui avait fixé à 500 000 étudiants internationaux l’objectif à atteindre en 2027 – ce qui est en bonne voie,avec 430 000 personnes recensées en 2023-2024.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.