Des salariés de l’aciérie ArcelorMittal de Dunkerque,dans le Nord,le 11 février 2022. FRANCOIS LO PRESTI/AFP Il s’agit du plus important haut-fourneau d’Europe. ArcelorMittal a annoncé,lundi 10 mars,la mise à l’arrêt du principal haut-fourneau de son aciérie de Dunkerque (Nord) pendant trois mois. Le groupe sidérurgique,leader européen et numéro deux mondial de l’acier,indique que ces travaux s’inscrivent dans le cadre d’un programme de maintenance de 254 millions d’euros,mais,pour de nombreux salariés,c’est une nouvelle inquiétude sur l’avenir de ce site industriel qui s’étend sur 450 hectares et emploie plus de 3 000 personnes.
Les travaux,qui concernent le haut-fourneau 4,auront lieu au cours du deuxième trimestre,pour une durée de quatre-vingt-dix jours. Ils doivent permettre de « maintenir l’efficacité de ces outils (…) tout en préparant le site industriel à sa prochaine phase de décarbonation »,précise le groupe dans un communiqué. Parallèlement,un autre projet de maintenance est programmé sur le haut-fourneau 1 du site d’ArcelorMittal de Fos-sur-Mer (Bouches-du-Rhône),pour un montant de 53 millions d’euros. Le redémarrage de ce haut-fourneau,à l’arrêt depuis 2024,faute de demande,est « prévu au cours du premier trimestre de 2026 ».
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.