Un porte-conteneurs à l’approche du port de Santos,au Brésil,le 1er avril 2025. ANDRE PENNER/AP/SIPA Le port de Santos,plus grand complexe portuaire d’Amérique du Sud,situé sur le littoral de l’Etat de Sao Paulo,fonctionne à flux tendu. Ce 1er avril au matin,trois porte-conteneurs chargés de produits divers – pièces automobiles,soja,café,maïs,coton – sont amarrés au quai du gigantesque terminal géré par l’entreprise Brasil Terminal Portuario (BTP). A leur pied,des dizaines de tracteurs défilent pour acheminer les conteneurs,déchargés des bateaux par des grues,sur l’une des 27 piles de stockage qui couvrent la surface du terminal.
Dans ce cœur économique brésilien – 30 % des exportations du pays partent de Santos –,l’heure est à la mobilisation générale. Pour maintenir leur productivité,les équipes d’ouvriers dockers tournent toutes les quatre heures,la moindre distraction risquant de paralyser les opérations. Car,en raison de la croissance des exportations du Brésil,le trafic portuaire de conteneurs a bondi de 20 % en 2024,ce qui met les infrastructures sous tension. Et,au-delà des ports,c’est toute la chaîne logistique du pays qui est mise à rude épreuve.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.