COLCANOPA Anne-Elizabeth d’Acremont est une sportive de haut niveau,qui s’entraîne au basket et au rugby fauteuil chaque soir jusqu’à 22 heures,se déplace dans toute la France et s’occupe de la communication de son club parisien. Mais,depuis le 10 avril,sa vie est devenue « très compliquée » : l’ascenseur de son appartement de Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis) est à l’arrêt pour une raison de sécurité. Le syndic s’est retourné contre l’assureur de l’immeuble,une expertise a été menée,mais « chacun se renvoie la balle » et aucune réparation ne se profile. Cela fait près de sept semaines qu’Anne-Elizabeth,qui se déplace en fauteuil roulant,est bloquée chez elle,au 3e étage. « Je dois faire appel à des voisins,à la famille ou à une association,mais ils ne sont pas disponibles tout le temps. J’ai dû annuler des entraînements »,déplore-t-elle. A l’évocation de sa situation,plusieurs personnes lui ont expliqué que « ça leur est arrivé parfois pendant des mois… ».
« La panne,c’est extrêmement gênant,notre fauteuil,c’est quand même nos jambes »,abonde Sylvain Thomas,56 ans,en invalidité. Sa résidence récente,conçue pour les personnes à mobilité réduite à Louviers (Eure),dispose de deux ascenseurs. Mais ils sont régulièrement hors service,parfois en même temps,surtout lors des fortes chaleurs. « Il y a deux ans,un locataire a dormi une nuit dans le local poubelle. Les pompiers ne viennent que quand on est bloqué dans la cabine. C’est un stress quand on part de chez soi. »
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.