Un échantillon de la salve de sorties depuis la clôture du procès,fin 2024. M LE MAGAZINE DU MONDE Dans le procès de Mazan,tout fut hors du commun. Le nombre des accusés,la nature des crimes,la stature de la victime devenue icône,l’intérêt international porté à l’affaire… En librairies,un phénomène également extraordinaire est en train de prendre forme. Depuis la fin du procès,le 19 décembre 2024,six livres ont déjà paru qui traitent de près ou de loin du supplice de Gisèle Pelicot et des viols qu’a organisés son mari dans leur pavillon du Vaucluse pendant plusieurs années.
Aux ouvrages de l’enseignante Cynthia Illouz (Procès de Mazan. La déflagration,L’Observatoire),de la professeure de lettres Mathilde Levesque (Procès Mazan. Une résistance à dire le viol,Payot),de la philosophe Manon Garcia (Vivre avec les hommes. Réflexions sur le procès Pelicot,Flammarion),du journaliste Laurent Valdiguié (Fétiche45. Les autres vies de Dominique Pelicot,Seuil) et de l’écrivaine Claire Berest (La Chair des autres,Albin Michel) s’ajoutera,le 4 juin,celui de la journaliste Elise Costa,qui a suivi le procès pour le magazine en ligne Slate. Dans Ecrire Mazan (Marchialy),elle augmente ses chroniques d’extraits de son carnet de notes et de réflexions a posteriori sur les huit semaines d’audiences. Chaque éditeur cherche donc son livre sur Mazan,dans une course à l’exégèse aux fortunes littéraires variées.
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Interpellés lundi 24 février dans la soirée, deux physiciens, âgés de 48 et 59 ans, avaient jeté trois bouteilles d’azote. Ils ont été condamnés, jeudi, pour « tentative de dégradation par un moyen dangereux » et « fabrication d’engins explosifs ».
Pour parvenir à relocaliser l’essentiel de sa production, la maison d’horlogerie alsacienne a investi 250 000 euros afin de moderniser son atelier et a augmenté fortement ses prix de vente.
Régulièrement, des postulants à l’ENM se voient éconduits par le ministère de la justice alors qu’ils ont réussi le concours. Souvent pour des faits anciens et peu graves, sans que l’administration n’ait à rendre compte de ses critères de sélection.
Le vice-président J. D. Vance a mis en garde contre une « réglementation excessive » de l’IA, notamment dans l’Union européenne. En réponse, Emmanuel Macron et Ursula von der Leyen ont plaidé pour une « troisième voie », tout en vantant leurs investissements dans le secteur.