Alexandra Henochsberg (à gauche) et Caroline Bonmarchand,respectivement distributrice et productrice de « Je le jure »,à Paris,le 10 mars 2025. LAURA STEVENS POUR « M LE MAGAZINE DU MONDE » « Ce film fait l’objet d’un accompagnement particulier pour sa sortie. » La mise en garde,qui apparaît dans le dossier de presse du troisième long-métrage de Samuel Theis,Je le jure (en salle le 26 mars) comme sur le site de son distributeur,Ad Vitam,est inhabituelle. Elle renvoie à un texte qui précise que le film sort alors que l’enquête judiciaire qui vise le réalisateur à la suite d’une plainte pour viol est toujours en cours.
Les quelques paragraphes ont été rédigés à trois mains par la productrice du film,Caroline Bonmarchand,sa distributrice,Alexandra Henochsberg,et l’avocate Marie Dosé. Cette dernière a d’abord conseillé Samuel Theis dans l’écriture du scénario et pour orchestrer sur le tournage les scènes de tribunal de ce « film de procès »,avant de devenir son avocate dans l’affaire d’agression sexuelle dont il est accusé. Si la révélation d’affaires de violences sexistes et sexuelles est devenue monnaie courante dans le cinéma français,la singularité,ici,tient à la transparence à laquelle la productrice et la distributrice ont choisi de se tenir.
Il vous reste 81.39% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».