Le siège de France Télévisions,à Paris,le 13 mars 2025. LUDOVIC MARIN/AFP Il fallait réagir vite. Après avoir soulevé deux tollés,le 25 janvier et le 5 février,pour avoir affiché,d’abord,un titre faisant état de « 200 otages palestiniens libérés » (il s’agissait de détenus),puis organisé un débat sur l’occasion de transformer Gaza en « Riviera »,comme semble le souhaiter le président américain,Donald Trump,Franceinfo,la chaîne d’information continue de France Télévisions,se verra dotée d’une nouvelle gouvernance,ainsi que d’un nouveau directeur,dès les prochains jours.
Le groupe présidé par Delphine Ernotte avait beau avoir rapidement reconnu « un traitement totalement inapproprié et regrettable »,une motion de défiance avait été votée,à une écrasante majorité (87 %),à l’encontre du directeur de la chaîne Laurent Delpech. En retrait depuis,le journaliste sera affecté à un autre poste,tandis qu’un directeur adjoint,Léo Lamberton,a été nommé de manière provisoire – au moins jusqu’à l’été. D’autres responsables ont également été sanctionnés,affirme au Monde Alexandre Kara,le directeur de l’information de France Télévisions,sans dévoiler ni la nature de la sanction,ni l’identité des personnes ciblées.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».