Les indices boursiers de Shanghaï et de Shenzhen,à Shanghaï (Chine),le 3 avril 2025. GO NAKAMURA / REUTERS Perdant-perdant. Vendredi 4 avril,en fin de journée,la Chine a dévoilé ses mesures de représailles aux droits de douane dégainés la veille par Donald Trump. Ce sera 34 % de taxe en sus des droits existants pour l’entrée de tous les produits américains sur son marché,comme les 34 % annoncés par le président américain sur les produits chinois,précipitant un peu plus les deux plus grandes économies de la planète dans la guerre commerciale.
La Chine n’est pas à l’initiative du conflit,mais elle entend montrer qu’elle ne pliera pas devant les méthodes du républicain. « Les actions des Etats-Unis ne sont pas conformes aux règles du commerce international,elles affectent gravement les droits et intérêts légitimes et légaux de la Chine,elles sont caractéristiques de la coercition »,dénonce le ministère des finances chinois.
Ces taxes entreront en vigueur jeudi 10 avril,laissant à Pékin une marge pour reculer,si Washington devait se dédire avant l’application des siennes,le 9 avril. Au même moment,les douanes chinoises ont annoncé la suspension immédiate des importations de volailles et de sorgho de six importants fournisseurs américains,« pour protéger la santé et la sécurité des consommateurs ». La Chine cible ainsi les agriculteurs américains qui ont soutenu l’élection du républicain. Ces dernières années,elle a déjà réduit ses achats de produits agricoles des Etats-Unis pour se tourner davantage vers des pays émergents jugés plus amicaux,au premier rang desquels le Brésil.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».