Les soubresauts des marchés financiers au cours des derniers jours ont de quoi désorienter les épargnants,comme le montre l’évolution de l’indice Nasdaq,riche en valeurs technologiques américaines. Après avoir perdu près de 13 % en quatre séances après que le président américain,Donald Trump,a annoncé des droits de douane réciproques pour une cinquantaine de pays,il a,moins d’une semaine plus tard,bondi de plus de 12 % après que le même Donald Trump a décrété une pause de quatre-vingt-dix jours sur ces mêmes taxes,à l’exception de celles mises en place pour les produits chinois.
Cela faisait longtemps que les Bourses mondiales ne s’étaient pas montrées aussi fébriles. Et « tant que le dialogue n’est pas terminé entre les différents pays concernés et les Etats-Unis,le marché continuera d’être volatil »,prévient David Taieb,directeur des investissements en actifs cotés chez Sienna Investment Managers.
Dans ce contexte troublé,quelle doit être l’attitude des épargnants ? Aux Etats-Unis,le yoyo des marchés a des conséquences immédiates et palpables sur l’épargne des ménages,moins de ce côté-ci de l’Atlantique. « La part des actions dans l’épargne des Français tourne autour de 20 % tandis qu’elle situe à plus de 40 % pour les Américains »,souligne Philippe Crevel,directeur général du Cercle de l’épargne. Par ailleurs,« si une partie des gains réalisés en Bourse ont des effets directs sur la consommation des Américains,ils sont capitalisés en France,l’effet richesse n’est donc pas le même »,ajoute-t-il.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».