Pauline Rochart,à Paris,en 2023. OLIVIER SAILLANT « Quand j’ai annoncé à mes collègues parisiens que je retournais vivre à Dunkerque,leur réaction fut un mélange de sarcasme et d’effroi : “Mais pour quoi faire ?” » C’est à partir de sa propre histoire que Pauline Rochart,consultante de 36 ans,spécialiste des mutations du travail,déroule la pelote des questionnements des Parisiens d’adoption qui décident un jour de quitter la capitale,pour retourner habiter dans leur territoire d’origine.
Ceux qui reviennent,le nom de son essai paru en janvier (Payot,256 pages,20 euros),est un clin d’œil assumé à l’ouvrage du sociologue Benoît Coquard,paru en 2019 (Ceux qui restent,La Découverte),qui s’intéressait à la vie des hommes et des femmes qui n’ont pas quitté les campagnes en déclin. Quelles relations entre ces différents habitants des territoires ? Pourquoi revenir habiter dans sa région d’origine ? Quelle place pour le travail loin des opportunités de la capitale ? Entretien.
La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».