Un robot est transporté pour une présentation à la foire de Canton,le 15 avril 2025. GILLES SABRIÉ POUR « LE MONDE » Le divorce de l’Amérique de Donald Trump avec la Chine se fait dans la douleur. En interdisant à Nvidia,champion des puces de l’intelligence artificielle,de vendre à Pékin des microprocesseurs pourtant peu sophistiqués,le président américain a provoqué de nouveaux soubresauts sur les marchés financiers mercredi 16 avril. L’action Nvidia a reculé de 6,9 %,entraînant dans son sillage les valeurs technologiques américaines et l’indice Nasdaq qui a perdu 3,07 %. Ainsi,les marchés financiers font payer au prix fort ce découplage sino-américain voulu par Donald Trump. Et le président chinois,Xi Jinping,en résistant,s’ingénie à en accentuer le coût pour les Etats-Unis.
Déjà,Donald Trump a dû suspendre,contraint et forcé,les droits de douane sur les appareils électroniques produits en Chine tant ils menaçaient de faire sombrer Apple,qui fabrique l’essentiel de ses iPhone dans l’empire du Milieu,et l’électronique américaine.Mais il est pour l’heure inflexible sur le reste des importations chinoises,toujours taxées à hauteur de 145 % depuis le 10 avril,un niveau sur lequel ne s’est pas exactement aligné Pékin dans sa réponse,qui a répliqué en appliquant dans la foulée,le 11 avril,des droits de douane de 125 %.
Il vous reste 89.8% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».