A Paris,le 14 janvier 2025. GONZALO FUENTES/REUTERS La septième chambre de la cour d’appel de Paris a rendu,mardi 22 avril,un arrêt qui fera date en matière de droit boursier. Alors que la juridiction d’appel donne rarement tort à l’Autorité des marchés financiers (AMF),elle a désavoué le gendarme des marchés de façon cinglante sur un dossier sensible,celui de la scission de Vivendi. Cette décision pourrait coûter cher à Vincent Bolloré,même s’il est bien trop tôt pour chiffrer la facture.
Pour comprendre,il faut se remémorer les débats de l’automne 2024. A l’époque,le groupe Vivendi,détenu à près de 29,9 % par le groupe Bolloré,met la dernière main à une opération financière majeure,consistant à se couper en quatre morceaux distincts : Canal+,Havas,Louis Hachette et Vivendi résiduel. De quoi « révéler le vrai potentiel » des actifs noyés dans un conglomérat peu goûté par la Bourse,promettaient,le 29 octobre,dans une interview aux Echos,le président du conseil de surveillance,Yannick Bolloré,et le président du directoire,Arnaud de Puyfontaine.
Et de chiffrer : « La valeur de nos actifs est autour de 16 milliards d’euros. » Las,les quatre sociétés,indépendantes depuis le 16 décembre 2024,pesaient ensemble 7 milliards d’euros,lundi 21 avril,juste avant l’annonce de la décision de la cour d’appel,autrement dit bien loin du compte.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».