Echographie mammaire,à l’Institut Paoli-Calmettes,centre régional de lutte contre le cancer,à Marseille,le 9 octobre 2017. ANNE-CHRISTINE POUJOULAT / AFP De tous les organes,ce sont les seins qui,en matière de cancer,sont les plus exposés : en France,un tiers des tumeurs malignes diagnostiquées chez les femmes,soit plus de 60 000 par an,y sont localisées. Le risque de développer cette affection,qui constitue la première cause de décès par cancer chez la femme,dépend d’une combinaison de facteurs,dont l’âge,les antécédents personnels et familiaux,ou encore le mode de vie.
Le rôle du niveau d’études – et donc,par extension,du statut socio-économique – dans le risque de cancer du sein a fait l’objet d’un travail de grande ampleur dont les résultats ont été publiés début avril dans la revue International Journal of Cancer. Margherita Pizzato,de l’université de Milan (Italie) et du Centre international de recherche sur le cancer (CIRC) à Lyon et ses collègues ont pour cela suivi près de 312 000 femmes vivant dans neuf pays européens (dont la France) et incluses dans la cohorte prospective EPIC entre 1991 et 2000. Les participantes,recrutées dans la population générale,étaient âgées de 35 à 70 ans au début de l’étude et n’avaient jamais eu de cancer. Parmi elles,un peu plus de 14 400 ont reçu un diagnostic de cancer du sein au cours de la période de suivi de quatorze ans en moyenne qui s’est terminée,selon les centres,entre 2004 et 2010.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».