Des parents d’élèves assistent à l’évacuation du lycée Notre-Dame-de-Toutes-Aides,après une attaque au couteau,à Nantes,le 24 avril 2025. LOIC VENANCE/AFP L’effroi et la sidération après une scène d’une violence inouïe. Une élève de 2de a été mortellement poignardée,jeudi 24 avril,peu après 12 h 15,au sein du lycée privé Notre-Dame-de-Toutes-Aides,dans l’est de Nantes. Trois autres camarades ont également été blessés au couteau. Tous ont été admis au centre hospitalier universitaire de la ville,dont l’un en état d’urgence absolue. Jeudi soir,il se trouvait toujours en réanimation. « Il n’y a pas de garantie » que cette personne soit « totalement tirée d’affaire »,a déclaré Elisabeth Borne,ministre de l’éducation nationale,arrivée sur place,avec le ministre de l’intérieur,Bruno Retailleau.
Peu avant le déjeuner,Justin P.,16 ans,pantalon noir et lunettes teintées,est,selon une source proche du dossier,« entré dans une classe,à la recherche d’une personne,puis sorti,avant de revenir frapper »,de près de 40 coups de couteau,Lorène,15 ans,qui a succombé à ses blessures. L’auteur présumé des faits,également scolarisé dans l’établissement en classe de 2de,est ensuite entré dans une deuxième salle de classe et a porté plusieurs coups de couteau à trois autres adolescents,deux garçons et une fille.
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Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».