Dans un centre commercial à Pékin (Chine),le 3 novembre 2023. TINGSHU WANG / REUTERS Il tombe des hallebardes,vendredi 18 avril à Pékin,et le nouveau toit en verre du Jingxi Joy City,centre commercial aux confins orientaux de la capitale,n’a visiblement pas été bien colmaté. L’eau goutte jusqu’à l’entrée du magasin Tesla,cerné par deux boutiques de vêtements de randonnée. Une femme de ménage fait briller les sièges blancs d’une Model 3 rouge rubis. Les vendeurs sont jeunes. L’un d’eux,arrivé en avril,répète,brochures sous l’aisselle,que « Tesla reste la référence dans son domaine ». Sur un mur blanc,on lit : « Posséder une Tesla = avoir une belle vie. »
Depuis quelques années,en Chine,les fabricants de véhicules électriques,lancés dans une compétition acharnée,misent sur les centres commerciaux pour aller au contact de leur clientèle,laissant la périphérie des villes aux « ancêtres » de la voiture à essence.
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La montée des eaux et les canicules posent déjà des problèmes aux aéroports, et le réchauffement aggrave le risque de turbulences dans l’Atlantique Nord.
Pour l’instant, la recharge ne pèse pas sur le réseau , mais si la voiture électrique se développe fortement la France devra augmenter sa production.
La communauté éducative parisienne a manifesté, mardi, contre les fermetures de classe, la perte de postes de professeurs mais aussi contre la remise en cause d’une exception nationale concernant les directeurs, que souhaite annuler le rectorat. Depuis une convention de 1982, ils n’ont pas en charge l’enseignement auprès d’une classe.
A l’audience, mardi, l’enquêtrice de personnalité a été entendue sur le parcours de ce Tunisien de 25 ans qui, depuis son interpellation, le 29 octobre 2020, affirme ne se souvenir de rien. Mais un psychiatre et un neurologue ont évoqué un « système de défense », une simulation de troubles « pour se disculper des faits qui lui sont reprochés ».