Raphaëlle Tervel,entraîneuse du club de handball féminin de Brest,lors d’un match face aux Norvégiennes du Vipers Kristiansand,à Brest,le 7 septembre 2024. GUILLAUME SALIGOT / OUEST-FRANCE / PHOTOPQR / MAXPPP Le bilan du Brest Bretagne Handball (BBH) est,pour l’heure,immaculé : aucune défaite en sept matchs depuis le début du championnat de France féminin,la Ligue Butagaz Energie. Une lancée que le club finistérien va tenter de poursuivre,samedi 4 janvier,à 20 heures,face au Stella Saint-Maur Handball,formation du Val-de-Marne. Reste que le BBH ne s’illustre pas uniquement sur le terrain cette saison. Il est l’un des rares clubs de France à être coaché par une femme,Raphaëlle Tervel,épaulée par son adjointe Sandrine Mariot.
Sur les quatorze équipes composant la première division,trois sont menées par une entraîneuse (outre Brest,Plan-de-Cuques et Saint-Amand-les-Eaux) et on en compte une seule sur les treize formations de la deuxième division (Clermont-Ferrand). « Le constat est quasiment le même aujourd’hui que lorsque j’ai commencé ma carrière,il y a près de vingt ans »,déplore la joueuse de Metz et ex-internationale tricolore Allison Pineau. « On a pris du retard,c’est certain,concède Nodjialem Myaro,qui préside la Ligue féminine de handball depuis onze ans. Mais c’est un retard général,que l’on retrouve aussi dans les autres pays. »
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