Jimmy Wales,cofondateur de l’encyclopédie en ligne Wikipédia,à Londres,le 13 janvier 2021. DANIEL LEAL/AFP Membres de la grande famille des « communs »,les communs numériques en partagent l’essence même : ce sont des ressources ni privées ni publiques et non couvertes par la loi,comme pourraient l’être une forêt ou une rivière. Pionnière de la réflexion sur leur cadre théorique,Valérie Peugeot,professeure à Sciences Po après avoir été prospectiviste puis sociologue pour Orange,précise la définition : « Ce sont des ressources partagées,gérées par une communauté. L’idée consistait à se défaire du propriétarisme dans lequel l’économie était enfermée depuis le XVIIe siècle. »
Cette définition s’applique parfaitement aux communs numériques. Immatériels,non exclusifs,non rivaux,c’est-à-dire qu’ils peuvent être utilisés par plusieurs personnes sans priver les autres de leur usage,qui plus est sans épuiser la ressource,ils bénéficient d’une diffusion très large et facilitent la collaboration entre de nombreuses personnes. Entrent dans cette catégorie les logiciels open source,mais aussi les données,les connaissances,les réseaux,Internet…
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.