Dans la salle du Sceau,à Versailles,le 4 mars 2024,lors de la signature du projet de loi constitutionnalisant l’IVG. De gauche à droite : Marie Lebec,ministre déléguée chargée des relations avec le Parlement,Aurore Bergé,ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et de la lutte contre les discriminations,Eric Dupond-Moretti,ministre de la justice,Gabriel Attal,premier ministre,Yaël Braun-Pivet,présidente de l’Assemblée nationale,et Gérard Larcher,président du Sénat. JULIEN MUGUET POUR « LE MONDE » « De haute lutte. La révolution de l’avortement »,sous la direction de Stéphanie Hennette-Vauchez et Laurie Marguet,CNRS Editions,502 p.,28 €,numérique 20 €.
Stéphanie Hennette-Vauchez,professeure de droit public à l’université Paris-Nanterre,et Laurie Marguet,maîtresse de conférences en droit à l’université Paris-Est-Créteil,ont dirigé le livre collectif De haute lutte. La révolution de l’avortement. Elles reviennent,pour « Le Monde des livres »,sur les enseignements de cette vaste enquête,au moment où l’on célèbre les 50 ans de la loi du 17 janvier 1975 qui,à l’initiative de Simone Veil (1927-2017),alors ministre de la santé,dépénalisa l’avortement.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.