Le premier ministre,François Bayrou,à l’Elysée,le 24 décembre 2024. BERTRAND GUAY/AFP Si le gouvernement est en quête de consensus sur la question des retraites,il risque d’avoir du mal à établir des convergences entre le patronat et les syndicats. Alors que le premier ministre,a rencontré,depuis mardi 7 janvier,la quasi-totalité des acteurs sociaux représentatifs au niveau interprofessionnel,les principaux mouvements d’employeurs ont réaffirmé des positions très éloignées de celles qui sont défendues par les organisations de salariés. Ces désaccords ne datent pas d’hier mais ils sont remis en lumière au moment où le locataire de Matignon dit vouloir « reprendre » la réforme de la mi-avril 2023,qui a repoussé de 62 à 64 ans l’âge d’ouverture des droits à une pension,sous réserve que ces éventuels aménagements fassent l’objet d’un compromis.
M. Bayrou a mené cette série d’entretiens bilatéraux pour afficher son ouverture au dialogue et préparer la déclaration de politique générale,qu’il doit prononcer le 14 janvier à l’Assemblée nationale. Les sujets abordés avec ses interlocuteurs ont porté sur un champ très large : dégradation du marché du travail,élaboration des budgets de l’Etat et de la Sécurité sociale,reconstruction de Mayotte… Une attention particulière a été consacrée au thème des retraites – énorme caillou dans la chaussure des dirigeants qui se succèdent à la tête du pays depuis l’adoption de la loi d’avril 2023. L’abrogation de la règle des 64 ans est réclamée par tous les syndicats mais aussi par une très nette majorité de députés.
Il vous reste 68.55% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.