COLCANOPA « Je suis célibataire,je n’avais pas besoin de plus grand et le prix a joué aussi »,explique Allan Rivière,49 ans,employé des pompes funèbres,qui a acheté en décembre 2023 un pavillon sur plan à Bouttencourt (Somme) d’un format peu classique : 61 m2,deux pièces (une chambre et un salon) pour 122 000 euros,hors prix du terrain. Bien loin de la superficie moyenne de 114 m2 en France. Le constructeur est une marque du groupe Hexaom,numéro un français de la maison individuelle,qui a décidé en 2024 de développer une offre de maisonnettes pour les petits budgets. Avec l’objectif de retrouver une clientèle,qui ne parvenait plus à acheter,ni même à louer,dans un contexte de crise aigu du logement.
« Nous fabriquions régulièrement des petites maisons et comme la demande s’est montrée de plus en plus forte,nous avons marketé cette offre et sorti des catalogues et des fiches produits »,explique Loïc Vandromme,le directeur général du groupe Hexaom. Le constructeur propose ainsi des maisons de 50 m2 à partir de 80 000 euros (hors prix du terrain),qui sont devenues « un des vecteurs les plus porteurs » de son offre.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.