Des membres de la Coordination rurale accrochent une banderole devant la préfecture de l’Essonne,à Evry,le 19 janvier 2024. VINCENT LOISON/1H23 C’est peu dire que le résultat des élections aux chambres d’agriculture était attendu. Depuis plus d’un an,cette échéance électorale a contribué à aiguillonner les manifestations agricoles qui se sont multipliées sur le territoire national.
Les cinq syndicats agricoles,la Fédération nationale des syndicats d’exploitants agricoles (FNSEA),les Jeunes Agriculteurs (JA),la Coordination rurale,la Confédération paysanne et le Mouvement de défense des exploitants familiaux,qui mesurent leur force lors de ce scrutin organisé tous les six ans,n’ont pas manqué de pousser les feux de la colère paysanne. Dans la dernière ligne droite,ils ont mené une âpre campagne au plus près du terrain. L’enjeu : aller à la chasse aux suffrages,alors que les 403 908 agriculteurs en activité,inscrits sur les listes,avaient jusqu’au 31 janvier à minuit pour exprimer leur vote,en ligne ou par courrier.
Au fil du dépouillement,jeudi 6 février,les résultats sont tombés département par département. Et,sur la carte de France,la couleur jaune de la Coordination rurale s’est,peu à peu,déployée face au vert de la FNSEA. A quelques voix près parfois – six en Gironde par exemple –,des bastions du syndicat qui se dit majoritaire grâce à son alliance électorale avec les JA ont changé de mains.
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