Piquet de grève des salariés de Lidl à Gerzat (Puy-de-Dôme),le 7 février 2025. BOILEAU FRANCK / PHOTOPQR/LA MONTAGNE/MAXPPP A l’entrée du parking du Lidl de Champigny-sur-Marne (Val-de-Marne),deux salariés mettent leur bras en croix pour faire comprendre d’un signe aux clients en voiture que « c’est fermé ». Le reste des grévistes,une grande majorité de femmes,plusieurs en chasuble CFDT,s’est rassemblé dans une pièce commune pour échapper à l’air glacial. Ils y savourent leur première victoire : vendredi 7 février,le magasin n’a pas ouvert en raison d’une grève massive de sa cinquantaine de salariés,répondant à l’appel lancé au niveau national par cinq des six syndicats de l’entreprise (CGT,CFDT,FO,CFE-CGC,CFTC).
Le rideau est également resté baissé dans plusieurs Lidl voisins à Vitry-sur-Seine,Villiers-sur-Marne,Santeny (Val-de-Marne),ou plus loin à Serris et Claye-Souilly (Seine-et-Marne),dont les salariés en grève arrivent par vague,dans une joie libératrice. « Je travaille chez Lidl depuis 2007,c’est la première fois que nous faisons grève. Jusqu’ici on n’osait rien dire pour ne pas en pâtir,mais on nous en demande toujours plus. Alors cette fois on s’est dit : “On y va !”,lance une salariée de Villiers-sur-Marne. J’espère qu’il y aura du changement car les conditions de travail sont vraiment catastrophiques. »
Il vous reste 82.68% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.