Des appareils électriques emballés après leur inspection à l’entreprise d’électroménager BSH,un sous-traitant de la société de rénovation Back Market,à Tournan-en-Brie (Seine-et-Marne),le 26 janvier 2021. CHRISTOPHE ARCHAMBAULT / AFP C’est le pan de la consommation qui a le plus souffert des arbitrages budgétaires des Français. Propulsé à des sommets lors de la crise liée au Covid-19 et du repli des ménages vers le foyer,le secteur des biens liés à l’aménagement de la maison (meubles et électroménager) a passé une année 2024 difficile.
Un constat qu’ont partagé les acteurs de l’ameublement,parmi les plus touchés par la conjoncture,lors de leur conférence de presse,mardi 11 février. En cause,principalement,l’arrêt des transactions sur le marché de l’immobilier,dont l’activité est un moteur des achats de meubles et d’électroménager. A cela se sont ajoutés les contraintes budgétaires des Français et l’attentisme des consommateurs lié au contexte politique et géopolitique.
Fours,lave-vaisselle,réfrigérateurs,canapés,lits… En 2024,quasiment tous les équipements du logement ont vu leurs ventes dégringoler. Après un léger recul en 2023,le marché du meuble a enregistré une baisse de 5,1 % en valeur sur un an,à 13,8 milliards d’euros,ont précisé,mardi,la Confédération nationale de l’équipement du foyer (les distributeurs),l’Ameublement français (les fabricants) et l’Institut de prospective et d’étude de l’ameublement. Dans le détail,la literie (– 2,1 %) s’en sort mieux que les sièges rembourrés (– 4 %),les équipements meublants (– 5,3 %),la cuisine (– 6,2 %) ou encore le mobilier de salle de bains (– 7,2 %).
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.