Une femme allume une bougie devant l’église Notre-Dame de Nice,en France,le 30 octobre 2020. DANIEL COLE / AP C’était le jour des victimes et de leurs proches. Les familles des trois personnes assassinées dans la basilique de Nice,le 29 octobre 2020,ont défilé à la barre de la cour d’assises spécialement composée de Paris,mercredi 19 février,pour exprimer leur douleur,leur colère mais surtout leur difficulté à vivre et à se reconstruire après un tel drame.
Agé aujourd’hui de 15 ans – il en avait 10 au moment des faits –,le fils de Simone Baretto Silva,qui avait 44 ans au moment de sa mort,a raconté d’une voix fluette et entrecoupée par les pleurs combien « c’est très très dur pour nous ». Dans la salle,des larmes coulent,y compris chez les juges assesseurs. Il était seul à la maison avec sa petite sœur quand il a appris la mort de sa mère. La suite a été un long chemin de douleur : « En cours,j’arrive pas à rester concentré,je pleure tout le temps,j’arrive pas à travailler. » Il a redoublé une classe pour repartir d’un bon pied. Le garçon pratique aujourd’hui la boxe et la capoeira pour pouvoir défendre sa sœur : « J’ai toujours peur de ne pas savoir la défendre s’il y a un problème. » Le président de la cour,Christophe Petitot,cherche à le rassurer : « Ce que tu fais,c’est courageux. Et toute ta famille pourra compter sur toi. »
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.