Arrivée de Cyril Hanouna devant les locaux de M6,à Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine),jeudi 27 février 2025. ARNAUD DUMONTIER / LE PARISIEN / MAXPPP Après des semaines de roulement de tambour quotidien,Cyril Hanouna,l’animateur-producteur de l’émission « Touche pas à mon poste ! »,a finalement annoncé,jeudi 27 février,de quoi sera fait son avenir médiatique. A la veille du dernier jour sur la TNT de C8 – qui disparaîtra,comme NRJ 12,dans la nuit du 28 février au 1er mars,du fait d’une décision de l’Arcom,le régulateur de l’audiovisuel –,le visage phare de la galaxie médiatique du milliardaire conservateur Vincent Bolloré a annoncé qu’il quittait le Groupe Canal+ pour rejoindre le Groupe M6. Il animera,à partir du 1er septembre,une émission quotidienne sur la chaîne W9,et un programme l’après-midi sur Fun Radio.
D’ici à la rentrée,l’animateur diffusera son émission actuelle à partir de lundi 3 mars sur les plateformes YouTube,Dailymotion,ainsi que sur les principales box Internet. « Je ne voulais pas laisser mes équipes sans travail »,a-t-il dit autour de 23 h 30,devant le siège du Groupe M6,à Neuilly-sur-Seine (Hauts-de-Seine),où il était arrivé en van avec ses chroniqueurs,après presque cinq heures trente d’antenne.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.