Fanny Letier,lors du lancement du programme « Accélérateur PME Grand Est »,en 2018,à l’hôtel de région de Strasbourg. DOMINIQUE GUTEKUNST/PHOTOPQR/L'ALSACE/MAXPPP Quand Fanny Letier et François Rivolier ont créé la société d’investissement Geneo Capital Entrepreneur,en 2019,afin de soutenir de belles PME françaises,ils ont collecté l’argent nécessaire auprès de 220 familles ou entrepreneurs ayant fait fortune. En six ans,l’équipe a amassé 740 millions d’euros qui ont été investis dans une trentaine d’entreprises,allant de l’ingénierie à la chimie en passant par les services à l’enfance. Mise minimale pour participer au club : 500 000 euros. De quoi expliquer pourquoi le capital-investissement a été longtemps réservé à des institutionnels,voire de riches particuliers. Mais c’est en train de changer.
« Nous sommes approchés par beaucoup d’entrepreneurs désireux de donner un sens à leur investissement en soutenant des entreprises en croissance,mais qui nous disent ne pas avoir cette somme à placer »,relate Fanny Letier. D’où la décision d’abaisser le ticket minimum de souscription à 100 000 euros. Evidemment,cela reste élevé,mais Geneo n’est pas agréé,à ce stade,pour lever des capitaux sous ce plancher,qui représente la limite fixée par une directive européenne entre investisseurs professionnels ou non.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.