XAVIER LISSILLOUR Chaque soir,la même scène se produisait à table. Mia (le prénom a été changé),7 ans,refusait de toucher le repas que ses parents lui avaient préparé. Même lorsqu’il s’agissait de son plat préféré. Les explications sur l’importance de bien manger,les menaces de punition,les promesses de dessert,rien n’y faisait. « J’ai fini par comprendre qu’elle s’était gavée d’aliments malsains à l’école et n’avait plus faim »,explique Aidan (le prénom a été changé),son père.
Il consulte alors le menu publié sur le site de l’école de sa fille,un établissement public du nord-est de Londres. Le lundi,les élèves se font servir des nachos recouverts de fromage fondu et un cookie au chocolat. Le mardi,un hot-dog végétarien et des frites. Le mercredi,un burrito à la viande hachée et une glace. Aidan est horrifié. « Je fais très attention à l’alimentation de ma fille,car je sais que c’est crucial pour sa croissance et sa santé,dit-il. Et là,tout était frit,ultratransformé,rempli de sel ou de sucre. Et pas un seul fruit ou légume à l’horizon. »
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