François Bayrou,à l’Assemblée nationale,à Paris,le 5 mars 2025. STEPHANE DE SAKUTIN / AFP Le parcours est tracé mais ce sera un concours d’obstacles. Le projet de loi sur l’accompagnement de la fin de vie – dont l’examen avait été interrompu par la dissolution de l’Assemblée nationale,le 9 juin 2024 – doit être de nouveau débattu dans l’Hémicycle à partir du 12 mai. Sous une forme voulue par le premier ministre,François Bayrou : à travers deux propositions de loi déposées jeudi 6 mars. Elles seront débattues l’une après l’autre pendant deux semaines au minimum. La première sera portée par Annie Vidal,députée (Renaissance) de Seine-Maritime,et est relative aux soins palliatifs. L’autre par Olivier Falorni,député (Démocrates) de Charente-Maritime prévoit l’accès à une « aide à mourir » pour les malades,sous certaines conditions.
François Bayrou avait expliqué,en janvier,qu’un texte législatif sur le développement des soins palliatifs était « un devoir à l’égard de celles et ceux qui traversent cette épreuve ». Et que l’aide à mourir relèvait d’une « question de conscience »,selon son entourage. Ce distinguo n’a ni rassuré ni convaincu ceux qui le soupçonnent d’une « manœuvre dilatoire » pour faire obstacle au vote d’un droit de certains malades de décider du moment de leur mort.
Il vous reste 80.84% de cet article à lire. La suite est réservée aux abonnés.
« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.