Dans un hypermarché Carrefour de Villeneuve-la-Garenne (Hauts-de-Seine),le 29 mars 2023. THOMAS SAMSON / AFP Des beignets aux pommes dont le prix a baissé de 14 % depuis la mi-janvier,des briques de soupes de légumes passés de 3,67 euros à 3,27 euros… Comme l’avait laissé entendre dans les médias Thierry Cotillard,président du groupement Les Mousquetaires,l’enseigne Intermarché a baissé les prix de certains produits,signe de la bataille que se livrent les enseignes,sans attendre la fin des négociations commerciales. Ces discussions annuelles entre les distributeurs et les industriels pour définir les tarifs des produits de marque dans les rayons se sont officiellement achevées le 1er mars.
Dans les faits,les négociations se poursuivaient encore les jours suivants,aussi bien du côté des multinationales que des petites et moyennes entreprises (PME) de l’agroalimentaire,au risque d’être épinglés par la répression des fraudes. Selon la Fédération nationale de l’industrie laitière (FNIL),des grands groupes n’avaient toujours pas signé l’ensemble de leurs contrats avec la distribution à la date fatidique. De même,selon Pact’Alim,porte-parole des PME et entreprises de taille intermédiaire de l’alimentaire,un quart des répondants à un sondage effectué auprès de ses adhérents,n’avaient pas conclu leurs accords tarifaires avant le 1er mars.
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