Une montre modèle « Cartier Libre » exposée lors de l’ouverture du salon Watches and Wonders,à Genève (Suisse),le 30 mars 2022. FABRICE COFFRINI/AFP L’or sauve Richemont. Le fabricant des bijoux Cartier et Van Cleef & Arpels a annoncé,vendredi 16 mai,avoir bouclé son exercice 2024-2025,fin mars,en ayant réalisé un chiffre d’affaires de 21,4 milliards d’euros,en hausse de 4 % par rapport à l’exercice précédent. Le groupe suisse a sauvé les meubles grâce à ses ventes de joaillerie,en augmentation de 8 %,à 15,3 milliards d’euros,qui représentent 54 % de ses ventes mondiales. Et,en affichant une croissance de 7 % au cours des trois premiers mois de l’année 2025,il fait mieux que ses pairs,dont LVMH,numéro un mondial du luxe,observent les analystes financiers.
Richemont a probablement bénéficié de l’attrait des bijoux en or,valeur refuge aux yeux des clients fortunés,dont le prix s’envole de 30 % depuis 2020. La situation est tout autre sur le marché de l’horlogerie : les ventes de montres de Richemont ont plongé de 13 % au cours de l’exercice 2024-2025,à 3,3 milliards d’euros. Car ce marché demeure en crise,en Chine plus qu’ailleurs. Même si le pays reste le deuxième débouché des exportations horlogères suisses,derrière les Etats-Unis,d’après le palmarès établi par la Fédération suisse horlogère,les ventes de montres Richemont (Baume & Mercier,Vacheron Constantin ou Piaget) ont reculé de 27 %.
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