ADRIA FRUITOS C’est dans la torpeur de l’été 2023 que les mauvaises nouvelles ont commencé : discrètement,plusieurs sociétés civiles de placement immobilier (SCPI) annonçaient une baisse de leurs prix. En clair,la valorisation des biens qu’elles détenaient en portefeuille avait suffisamment baissé,ce qui les contraignait à l’ajuster. Des annonces brutales qui ont surpris des investisseurs pour qui la pierre-papier était synonyme de solidité.
Résultat,les épargnants ont vu la valeur des fonds qu’ils détenaient fondre,ce qui a poussé certains d’entre eux à souhaiter vendre leurs parts. Malheureusement,une grande partie d’entre eux n’ont trouvé personne pour les leur racheter et,près de deux ans plus tard,ils sont toujours dans l’incapacité de le faire.
Selon les derniers chiffres de l’Association française des sociétés de placement immobilier (Aspim),à la fin mars,2,6 % des parts de SCPI seraient toujours en attente d’un acheteur. « Nous observons une légère amélioration de la situation »,explique Frédéric Bôl,président de l’association. Mais,pour les épargnants concernés,l’attente est longue. « Le sujet est assez complexe »,reconnaît M. Bôl. Car,pour le moment,aucune solution ne permet à elle seule de résoudre le problème.
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« The Walking Dead », « Lucky Luke », « Les 4 Fantastiques »… Depuis 2020, le gouvernement espagnol déroule le tapis rouge aux équipes de films étrangères, à coups de crédits d’impôt, d’aides au secteur et de facilités administratives. Résultat : les tournages se multiplient, au profit de l’économie locale.
Le peso s’est fortement apprécié face au dollar en 2024, provoquant notamment une forte baisse du tourisme. Le gouvernement assure qu’il ne procédera pas à une dévaluation.
Des associations font remonter des refus d’inscription ou de bourses et des problèmes de transport dans les quartiers où ont éclaté les émeutes de 2024. Pointée du doigt, la province Sud, qui a vu son budget impacté par les heurts, se défend de toute discrimination.
Sans abandonner la lutte contre le cannabis, le président de la collectivité ultramarine, Moetai Brotherson, entend s’attaquer au trafic de l’« ice », une méthamphétamine consommée par de nombreux Polynésiens. Le gouvernement local affectera 2 millions d’euros chaque année à la prévention et au sevrage.