Le logo du sommet sur l’intelligence artificielle au Grand Palais,à Paris. le 10 février 2025. JOEL SAGET / AFP C’était l’un des enjeux affichés par l’Elysée durant le sommet de l’intelligence artificielle (IA),qui s’est tenu du lundi 10 au mardi 11 février,à Paris : que cette dernière profite à l’intérêt général. L’Etat a annoncé mardi la création de la fondation Current AI,destinée notamment à bâtir des outils et infrastructures d’IA « open source »,c’est-à-dire ouverts. Cette fondation doit être dotée d’un budget public de 400 millions d’euros,renforcé par des contributions de fondations privées et d’entreprises,comme Google ou Salesforce.
Les contours de la mission de cette fondation demeurent encore flous. On ignore par exemple si elle bâtira de « grands modèles de langue » (LLM),la brique fondamentale animant ChatGPT et les autres agents conversationnels,ainsi que des outils de traduction,de biologie ou encore de robotique. Reste que sa création fait écho au débat concernant l’ouverture des LLM,ranimé ces dernières semaines par l’apparition de DeepSeek,un modèle qui se distingue justement de son concurrent ChatGPT par sa frugalité et par son positionnement open source.
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Le chef de l’Etat a inauguré, samedi, dans le calme, contrairement à l’an dernier, l’événement annuel du monde agricole. Durant ses déambulations, et au fil de ses rencontres, il a multiplié les mises en garde quant aux conséquences de la situation géopolitique actuelle.
Marty G., 31 ans, a été condamné en appel, vendredi 21 février, à quatre ans de prison ferme pour des pénétrations digitales commises sur une amie pendant qu’elle dormait.
L’ancien président de l’Olympique lyonnais critique la majorité écologiste et affirme « réfléchir » à sa candidature pour 2026.
L’animateur vedette de M6 a en revanche été relaxé, mardi, par le tribunal correctionnel de Paris, pour les violences psychologiques dénoncées par une autre plaignante.