Georges Ibrahim Abdallah quitte le tribunal de Pau,le 18 février 2010. JEAN-LOUIS DUZERT/AFP Sa place était déjà réservée sur un vol Paris-Beyrouth dimanche,mais Georges Ibrahim Abdallah devra encore attendre avant de rentrer au Liban après plus de quatre décennies de détention. Jeudi 20 février,la cour d’appel de Paris a ajourné au 19 juin sa décision sur la libération du militant propalestinien condamné en 1987 pour complicité d’assassinat de deux diplomates américain et israélien en France.
Tout en validant le principe de sa libération conditionnelle décidé en novembre 2024,la chambre d’application des peines de la cour d’appel de Paris a estimé qu’« en l’état il n’[était] pas possible » d’y « faire droit ». A la surprise générale,elle a ajouté une condition,« en dépit d’une très longue incarcération »,jugeant « nécessaire » qu’il « s’acquitte à raison de ses facultés contributives des dommages et intérêts » qu’il doit verser aux parties civiles,selon un communiqué du parquet général. La cour a ainsi jugé « opportun d’ajourner la décision afin de permettre au condamné de justifier dans ce délai d’un effort conséquent d’indemnisation des parties civiles ».
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Le chef de l’Etat a inauguré, samedi, dans le calme, contrairement à l’an dernier, l’événement annuel du monde agricole. Durant ses déambulations, et au fil de ses rencontres, il a multiplié les mises en garde quant aux conséquences de la situation géopolitique actuelle.
Marty G., 31 ans, a été condamné en appel, vendredi 21 février, à quatre ans de prison ferme pour des pénétrations digitales commises sur une amie pendant qu’elle dormait.
L’ancien président de l’Olympique lyonnais critique la majorité écologiste et affirme « réfléchir » à sa candidature pour 2026.
L’animateur vedette de M6 a en revanche été relaxé, mardi, par le tribunal correctionnel de Paris, pour les violences psychologiques dénoncées par une autre plaignante.