Arrestation d’un leader de l’organisation criminelle brésilienne PCC,Marcos Camacho,alias Marcola,à Brasilia,le 21 janvier 2020. SERGIO LIMA / AFP C’est en examinant les tatouages d’un criminel brésilien actif en Guyane que des enquêteurs français avaient rattaché cet individu,en 2019,à l’un des groupes de narcotrafiquants sud-américains les plus redoutables. Les dessins ornant le corps de ce membre de la Familia Terror do Amapa,implantée dans le nord du Brésil,de l’autre côté de la frontière,racontaient son passé de tueur pour le compte d’une autre organisation plus puissante encore : le Primeiro Comando da Capital (PCC).
Depuis,l’influence du PCC,mais aussi du Comando Vermelho,une autre organisation criminelle brésilienne,apparaît régulièrement en toile de fond d’affaires de vols à mains armées et de trafics en tout genre,en lien avec des gangs locaux guyanais. Mais le PCC vise à diversifier ses revenus,en particulier en prenant part à l’acheminement de la cocaïne entre pays producteurs et consommateurs.
« On peut considérer le PCC comme une société secrète,une forme de franc-maçonnerie,avec des entrepreneurs qui font leurs affaires de façon autonome »,précise Gabriel Feltran,chercheur à Sciences Po et spécialiste de ce groupe criminel qui a pris naissance au sein des prisons brésiliennes dans les années 1990.
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