Un mécanicien retire d’une voiture un module d’airbag du fabricant japonais Takata,dans un garage de Mulhouse,le 19 février 2025. SEBASTIEN BOZON/AFP C’est la mobilisation générale au gouvernement autour des airbags Takata. Philippe Tabarot,le ministre des transports,veut accélérer le remplacement des airbags Takata,tandis que,selon l’AFP,la Chancellerie demande le regroupement à la Juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Paris de l’ensemble des enquêtes menées sur les conséquences des défaillances de ces équipements défectueux.
En métropole,2,3 millions restent à traiter. L’administration dit avoir recensé 29 accidents en France,dont 11 décès outre-mer et un en métropole,liés à ce problème. L’association ADVAirbag et le cabinet Coppet Avocats,décomptent,de leur côté,17 décès outre-mer,un en métropole et 19 blessés. Outre-mer,80 000 véhicules ont encore des airbags contenant du nitrate d’ammonium,que le temps et l’exposition à la chaleur rendent dangereux.
Le ministère des transports a donc pris,le 9 avril,un arrêté encadrant plus précisément la procédure de rappel des constructeurs. L’an dernier,au mois de mai,pour la première fois,une mesure dite de « stop drive » – « arrêt de circulation » – avait été imposée,immobilisant les C3 et de DS3 produites entre 2009 et 2019,et situées dans la moitié sud de la France,jusqu’au remplacement des airbags défectueux de la marque japonaise,qui a fait faillite en 2017. En février,cette mesure a été étendue aux véhicules de la moitié nord et à plusieurs modèles de la marque Volkswagen. Au total 30 constructeurs sont aujourd’hui concernés par ces airbags défectueux.
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