Devant la basilique Notre-Dame-de-l’Assomption,après l’attentat djihadiste ayant fait trois morts,à Nice,le 29 octobre 2020. VALERY HACHE/AFP Il s’agit du deuxième attentat djihadiste dans une église en France et du troisième d’une séquence qui,à l’automne 2020,avait vu la France frappée en plein procès des attentats de janvier 2015 à Charlie Hebdo,à Montrouge (Hauts-de-Seine) et à l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes,à Paris. Le procès de l’auteur de l’attentat de la basilique de Nice,dans lequel un jeune clandestin tunisien avait attaqué au couteau et tué trois personnes le 29 octobre 2020,doit débuter lundi 10 février à la cour d’assises spécialement composée de Paris.
L’accusé,Brahim Aouissaoui,y comparaît pour « assassinats et tentatives d’assassinats en relation avec une entreprise terroriste »,selon les termes de l’ordonnance de mise en accusation. Son procès vient clore une trilogie sanglante commencée par l’attaque à la feuille de boucher,par un jeune réfugié pakistanais le 25 septembre 2020,de deux riverains de la rue Nicolas-Appert,à Paris,qu’il avait pris,à tort,pour des journalistes de Charlie Hebdo,qui venait de republier les caricatures du prophète Mahomet. Il a été jugé et condamné à une peine de trente ans de réclusion criminelle en janvier.
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