Le député de La France Insoumise,Sébastien Delogu,à l’Assemblée nationale,à Paris,le 15 octobre 2024. ALAIN JOCARD/AFP Six mois de prison avec sursis et 1 000 euros d’amende ont été requis,mardi 7 janvier,contre le député (La France insoumise,LFI) des Bouches-du-Rhône Sébastien Delogu pour des violences aggravées commises,en mars 2023,sur deux cadres du lycée Saint-Exupéry,le grand établissement scolaire des quartiers nord de Marseille. « Trois petits coups de pied administrés discrètement »,comme l’a dit le procureur Alain Berthomieu,sur le tibia d’un proviseur adjoint et sur celui de la conseillère principale d’éducation (CPE),parties civiles venues dire aux juges leur « sidération » d’avoir été « frappés par un représentant de la République avec une écharpe bleu-blanc-rouge ».
Mobilisé contre la réforme des retraites,un petit groupe d’élèves a,ce matin du 10 mars 2023,la volonté de bloquer l’entrée de l’établissement. Les cadres du lycée tentent de les en empêcher en récupérant les conteneurs à poubelles que les jeunes gens veulent transformer en barricade. Le plus virulent d’entre eux est maîtrisé par le proviseur,qui le ceinture afin de s’emparer de la corde rouge avec laquelle l’élève veut assembler les bacs à poubelles.
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Alors qu’il s’apprête à publier ses premiers résultats annuels, celui qui est devenu PDG à l’été 2024 veut faire de son groupe, né il y a trois cent soixante ans, le champion mondial des matériaux de construction bas carbone.
Les syndicats et le patronat démarrent, jeudi 27 février, à la demande de François Bayrou, des négociations visant à amender le texte controversé. Mais le cap fixé par le premier ministre d’un rétablissement de l’équilibre financier du système est jugé trop prescriptif par certaines organisations de salariés.
Le jeune homme est mort dans la ZAD du barrage de Sivens, dans le Tarn, après le jet d’une grenade, en 2014. La Cour européenne des droits de l’homme estime que le gouvernement a failli à ses obligations de maintien de l’ordre
Le gouvernement relance le projet de loi sur la simplification de la vie des entreprises, qui va être examiné en avril à l’Assemblée. Une façon de montrer qu’il maintient une politique probusiness malgré les hausses d’impôts en 2025.