Christophe Mirmand,à Marseille,le 7 septembre 2021. MOURA F/ALPACA/ANDIA.FR Le plan Marseille en grand victime d’un effet induit de la valse des cabinets ministériels ? Un décret a confirmé,vendredi 3 janvier,la fin de mission du préfet de la région Provence-Alpes-Côte d’Azur et du département des Bouches-du-Rhône,Christophe Mirmand. Le haut fonctionnaire de 63 ans a rejoint Paris dès le week-end pour prendre ses nouvelles fonctions de directeur de cabinet du ministre des outre-mer,Manuel Valls.
Un poste dont la stabilité n’est pas acquise,mais que le préfet Mirmand a accepté sans hésiter,après quatre années et demie à Marseille. « On m’a sollicité,j’ai considéré que le service de l’Etat m’amenait à répondre positivement »,explique celui dont le passage en Provence a été d’une rare longévité.
Jusqu’aux derniers jours de 2024,Christophe Mirmand restait le principal coordinateur sur place de Marseille en grand,secondé par la sous-préfète Virginie Averous. Et le dernier haut fonctionnaire,côté Etat,à avoir suivi toutes les étapes de ce plan,lancé en septembre 2021 par le président de la République Emmanuel Macron. Représentant une enveloppe globale de 5 milliards d’euros,Marseille en grand vise à rattraper les retards structurels de la deuxième ville de France dans les secteurs des écoles,du logement,de la mobilité ou encore de la santé. De l’avis même du préfet Mirmand,ce plan exceptionnel a occupé une « part importante » de son action depuis sa nomination,en juillet 2020.
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